Bonjour,
Je m’appelle Mathilde BUJEAUD et je suis actuellement étudiante en 4e année de kinésithérapie, à Paris (École de Kinésithérapie de Paris - ADERF).
Dans le cadre de cette dernière année, je réalise un mémoire de fin d’étude.
L’objectif de mon mémoire est de réaliser un état des lieux des pratiques des masseurs-kinésithérapeutes dans la prise en charge des enfants et adolescents de 2 à 18 ans atteints de paralysie cérébrale ayant reçu des injections de toxine botulinique au niveau du triceps sural. Le questionnaire est composé de 28 questions.
Toutes les réponses seront recueillies de façon anonyme et seront utilisées uniquement dans le cadre de mon mémoire.
Voici donc mon questionnaire
Vous remerciant par avance de votre implication, je reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires.
Bien cordialement, Mathilde Bujeaud. Janvier 2024.
Dans le cadre d’une étude sur la myopathie spastique des adultes avec paralysie cérébrale, l’équipe BIOTN composée du Dr Maud Pradines (de l’UR 7377 de l’Université Paris-Est Créteil (UPEC)) et du Pr. Jean-Michel Gracies (CHU Henri Mondor, Créteil) recherche des kinésithérapeutes et des adultes avec PC intéressés par une participation à cette étude clinique soutenue par la Fondation Paralysie Cérébrale. Pour en savoir plus, c’est par ici ➡️ https://bit.ly/3Rg3XjA.
Source : www.fondationparalysiecerebrale.org
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Vous pouvez retrouver le questionnaire témoignage et y répondre si vous le souhaitez.
Vous souffrez de douleurs chroniques en lien avec votre handicap, merci de répondre à ces quelques questions :
Je m’appelle Mino (femme) et j’ai 49 ans.
« Subrepticement, elle se glisse dans votre corps, et vous donne envie de hurler. Personne ne la voit, personne ne se doute qu’elle est là. Mais moi je la connais bien, cela fait quarante-cinq ans qu’elle m’habite. Je sais qu’elle ne me quittera pas. Je la tais pour qu’on ne me prenne pas en pitié, mais elle me ronge, les médicaments ne sont pas assez puissants pour la faire cesser. Quand elle se calme quelques instants, c’est pour mieux se cabrer le moment d’après. Nul ne peut la supporter. Elle s’appelle la souffrance, elle mérite ses deux « f ».
Merci Mino.
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