Bonjour,
Je m’appelle Mathilde BUJEAUD et je suis actuellement étudiante en 4e année de kinésithérapie, à Paris (École de Kinésithérapie de Paris - ADERF).
Dans le cadre de cette dernière année, je réalise un mémoire de fin d’étude.
L’objectif de mon mémoire est de réaliser un état des lieux des pratiques des masseurs-kinésithérapeutes dans la prise en charge des enfants et adolescents de 2 à 18 ans atteints de paralysie cérébrale ayant reçu des injections de toxine botulinique au niveau du triceps sural. Le questionnaire est composé de 28 questions.
Toutes les réponses seront recueillies de façon anonyme et seront utilisées uniquement dans le cadre de mon mémoire.
Voici donc mon questionnaire
Vous remerciant par avance de votre implication, je reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires.
Bien cordialement, Mathilde Bujeaud. Janvier 2024.
Dans le cadre d’une étude sur la myopathie spastique des adultes avec paralysie cérébrale, l’équipe BIOTN composée du Dr Maud Pradines (de l’UR 7377 de l’Université Paris-Est Créteil (UPEC)) et du Pr. Jean-Michel Gracies (CHU Henri Mondor, Créteil) recherche des kinésithérapeutes et des adultes avec PC intéressés par une participation à cette étude clinique soutenue par la Fondation Paralysie Cérébrale. Pour en savoir plus, c’est par ici ➡️ https://bit.ly/3Rg3XjA.
Source : www.fondationparalysiecerebrale.org
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Existence et infirmité motrice cérébrale : Jean-Pierre Chevance, psychologue (32 pages).
Toute survenue d’un handicap, on le sait, est un drame existentiel dans la mesure où il constitue une rupture dans le processus de production normal de la vie. C’est une rupture biologique, fantasmatique et sociale. Elle entraîne un bouleversement profond des repères qui pouvaient définir, alimenter et gérer l’existence d’une personne, d’une famille, d’un couple voire même de la société.
Sommaire
- Une construction identitaire difficile.
- Le désir d’aimer et d’être aimé.
- Pouvoir donner du sens à sa singularité.
"La parole que je vais tenter de mettre sur le vécu de la personne infirme moteur cérébral est à la fois celle de quelqu’un qui vit depuis plus d’un demi-siècle cette pénalité corporelle, et celle d’un professionnel qui a essayé d’entendre et de comprendre la souffrance au quotidien générée par l’état d’infirme moteur cérébral chez l’individu qui en est atteint et dans son entourage proche et plus lointain." Ce témoignage a été lu en session plénière par son auteur lors des 9es journées d’étude de l’APF qui se sont tenues à l’Unesco à Paris (1996).
Existence et infirmité cérébrale (2012) - Collection des journées d’études.
Site éditeur : http://formation.apf.asso.fr
Voir aussi dans la même Collection des journées d’études, 2008
Le devenir-adulte des personnes atteintes d’IMC et l’intranquillité des familles ?