Bonjour,
Je m’appelle Mathilde BUJEAUD et je suis actuellement étudiante en 4e année de kinésithérapie, à Paris (École de Kinésithérapie de Paris - ADERF).
Dans le cadre de cette dernière année, je réalise un mémoire de fin d’étude.
L’objectif de mon mémoire est de réaliser un état des lieux des pratiques des masseurs-kinésithérapeutes dans la prise en charge des enfants et adolescents de 2 à 18 ans atteints de paralysie cérébrale ayant reçu des injections de toxine botulinique au niveau du triceps sural. Le questionnaire est composé de 28 questions.
Toutes les réponses seront recueillies de façon anonyme et seront utilisées uniquement dans le cadre de mon mémoire.
Voici donc mon questionnaire
Vous remerciant par avance de votre implication, je reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires.
Bien cordialement, Mathilde Bujeaud. Janvier 2024.
Dans le cadre d’une étude sur la myopathie spastique des adultes avec paralysie cérébrale, l’équipe BIOTN composée du Dr Maud Pradines (de l’UR 7377 de l’Université Paris-Est Créteil (UPEC)) et du Pr. Jean-Michel Gracies (CHU Henri Mondor, Créteil) recherche des kinésithérapeutes et des adultes avec PC intéressés par une participation à cette étude clinique soutenue par la Fondation Paralysie Cérébrale. Pour en savoir plus, c’est par ici ➡️ https://bit.ly/3Rg3XjA.
Source : www.fondationparalysiecerebrale.org
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Affiche de la déclaration, lien interne - Format : PDF (279ko) - Date : septembre 2005
Charte des personnes en difficulté d’élocution et de communication, lien interne - Format : PDF (28ko). Groupe de travail APF, mars 2004
Nous les personnes qui ne parlons pas ou qui avons des difficultés de communication.
Nous sommes en situation de handicap, mais nous sommes en capacité de vous comprendre.
Nous souhaitons cependant pouvoir dialoguer avec vous directement.
Et nous avons des moyens particuliers pour le faire (regards, gestes, symboles, synthèses vocales, logiciels, écrits, accompagnateurs...).
Demandez nous comment nous communiquons ou si nous utilisons un moyen particulier.
Pour dialoguer, mettez vous en face de nous, à notre niveau, (assis ou baissé).
Adressez nous la parole normalement
Sans nous infantiliser, sans employer le tutoiement systématique.
Adressez nous la parole directement
Pas à notre accompagnateur, sans parler de nous à la troisième personne en notre présence.
Prenez le temps de nous écouter ou de décoder avec patience, même si vous n’avez pas le temps... !
Faites nous répéter plutôt que de faire semblant de comprendre, nous nous en rendons compte.
Aménagez des temps de silence pour favoriser le dialogue.
Laissez nous terminer nos phrases.
Demandez nous régulièrement confirmation de la justesse de votre compréhension.
En dernier recors, nous répondrons par oui ou par non à vos questions.
Nous avons parfois des expressions du visage ou des mouvements involontaires.
N’en ayez pas peur.
En acceptant cette écoute active et respectueuse de la personne, nous améliorons l’accessibilité, la citoyenneté, et tendons à gommer les effets du handicap.
Ensemble, créons des liens forts et durables !
Mars 2004